Les îles grecques et leur nouvelle taxe de croisière : combien coûtera votre prochaine escale ?

Dès l’été 2025, les voyageurs choisissant les îles grecques pour leurs vacances rencontreront une nouvelle dépense : la taxe de croisière.
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Sommaire

Introduction à la nouvelle taxe de croisière

Instaurée pour préserver les paysages idylliques et soutenir les infrastructures locales, cette mesure impacte légèrement le coût des escales selon la saison et l’île choisie.

Comprenant des montants variant de 1€ à 20€, cette taxe est baptisée « taxe de tourisme durable ». Elle est conçue pour intégrer les coûts environnementaux dans les frais de voyage, assurant ainsi que chaque visite contribue à la conservation de ces destinations prisées.

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Varier selon la période : plus élevée en haute saison

La période choisie pour visiter les îles grecques peut désormais influencer le montant de la taxe appliquée. Par exemple, entre juin et septembre, les visiteurs devront payer jusqu’à 20€ pour accéder à des îles comme Mykonos et Santorin. Cette augmentation vise à gérer l’afflux touristique durant la haute saison.

En revanche, durant les mois moins touristiques, d’octobre à mai, les frais diminuent considérablement, offrant des tarifs réduits à 12€ pour les mêmes îles populaires et seulement 3€ pour les autres îles. Une opportunité pour les amoureux de la tranquillité de découvrir la Grèce en dehors des pics touristiques.

Pourquoi instaurer cette taxe ?

Le gouvernement grec a introduit cette taxe pour plusieurs raisons essentielles. Premièrement, elle vise à protéger les trésors naturels des îles face à l’usure due au tourisme massif. Deuxièmement, elle finance l’amélioration des infrastructures portuaires, essentielles pour maintenir un accueil de qualité pour les visiteurs.

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Les revenus générés par cette taxe sont donc réinvestis directement dans les zones visitées, permettant de continuer à offrir des expériences mémorables tout en préservant l’authenticité et la beauté des destinations.

Conséquences de non-paiement

Les implications d’une non-conformité avec cette régulation sont assez strictes. Si une compagnie de croisière ne s’acquitte pas de cette taxe, elle pourrait se voir interdire de faire escale dans les ports grecs à l’avenir. Cette mesure garantit l’engagement de tous les acteurs du secteur maritime dans la préservation de l’écosystème local.

Un système de sanctions est donc mis en place pour encourager une approche responsable du tourisme, essentiel pour la durabilité des îles grecques en tant que destination de premier choix.

  • 1€ à 20€ par escale selon l’île et la saison
  • High saison (juin-septembre) : jusqu’à 20€
  • Basse saison (octobre-mai) : aussi peu que 3€
  • Sanctions pour non-paiement : interdiction d’escale

« Cette taxe permet de garantir que la beauté et l’authenticité des îles grecques soient préservées pour les générations futures. »

En conclusion, bien que cette nouvelle taxe puisse surprendre certains visiteurs, elle représente un petit prix à payer pour la préservation des magnifiques îles grecques. Avec des tarifs ajustés selon la saison, les voyageurs peuvent planifier leurs visites en fonction de leur budget tout en contribuant à un tourisme plus durable et responsable. La Grèce continue de promettre des expériences enrichissantes et des souvenirs inoubliables, avec un peu plus de conscience environnementale.

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9 réponses

  1. Je trouve ça très intelligent de varier les tarifs selon la saison. Ça devrait aider à gérer le flux des touristes.

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